En conférence de presse d’ouverture de la Sahara Conférence, ce samedi, la CEO de la NBA Africa, Clare Akamanzi, a mis l’accent sur l’impact de la BAL dans l’économie africaine. Elle a aussi salué l’intérêt des fans qui ont été plus de 28 000 à Rabat et s’attend à un autre record à Dakar.
De la bulle en 2021, la BAL fait partie aujourd’hui des compétitions les plus suivies en Afrique et dans le monde. La Conférence Kalahari au Maric (5-13 avril) montre clairement la vision des dirigeants d’étendre le projet. « La croissance et l’expansion de la Basketball Africa League reflètent l’engagement de la NBA à développer le sport en Afrique et notre soutien constant au développement de l’industrie sportive du continent. Nous avons toujours cru que la BAL pouvait devenir le moteur de la croissance économique de l’Afrique. À ce jour, la BAL a contribué à hauteur de plus de 250 millions de dollars au PIB africain et a créé près de 37 000 emplois liés à la Ligue au cours des quatre dernières saisons », souligne Clare Akamanzi.
L’engouement ne cesse de grandir au fil des saisons. En 2024, c’est plus de 120 000 fans qui ont suivi les activités de la BAL de Pretoria, au Caire, en passant par Dakar et Kigali. Cette année, le record pourrait être battu au regard de ce qui s’est passé à Rabat. « Cette saison, nous avons vécu une expérience incroyable lors de notre première étape au Maroc, pour la Conférence du Kalahari le mois dernier, avec plus de 28 000 supporters assistant aux matchs de la BAL à Rabat Les retours des supporters, l’intensité de la compétition sur le terrain, les événements hors-terrain et l’énergie des équipes et de tous les acteurs impliqués ont renforcé notre dynamique alors que nous nous préparons à ce que nous espérons être une nouvelle Conférence du Sahara passionnante », rajoute la CEO de la NBA Africa.
Pascal GOMIS