« Vous avez constaté hier (samedi) et aujourd’hui (dimanche), on a été victime de l’arbitrage. C’est des situations injustes. On a été volés. C’est ça le mot aujourd’hui. Il faut que cette question-là soit abordée de façon beaucoup plus séduisante. Parce qu’il n’est pas du tout normal que les gens se préparent, que l’État met les moyens et après on nous vole. Je pense qu’il faut mettre un terme à ça. J’avais posé le débat samedi au niveau de la FIBA. Mais on va écrire officiellement pour que de tels faits ne reproduisent pas à Luanda. Parce que ce qui s’est passé à Abidjan est scandaleux. On l’avait fait chez les garçons à Kigali en 2021. On a éliminé l’Angola en demi-finale et contre la Côte d’Ivoire. On nous met un arbitre angolais. C’est la même chose ici, on sort la Côte d’Ivoire et ils mettent une Ivoirienne sur notre demi-finale face au Nigeria. Je pense que ça, ça pose de vrais problèmes. Le choix des arbitres, c’est un problème. C’est une question de niveau. Je pense que la question doit être posée. Pour qu’on puisse réfléchir de façon consciente. Mais le débat, le Sénégal va le poser. On va écrire officiellement à la FIBA dès notre retour à Dakar. Les Nigérianes, ils marchaient facilement sur le autres équipes. Samedi, elles ont eu toutes les difficultés du monde. Donc, il faut continuer à travailler. On une équipe qui monte. Donc, il faut persévérer. Et peut-être que d’ici deux ans, on réussira à avoir l’expérience nécessaire. Parce que hier, on a perdu par expérience à la dernière minute.»